Prolapsus vaginal
Vous avez une pression dans le vagin ou le bassin, ou une ouverture vaginale élargie/large/bondie ? Avez-vous une masse de tissu à l’ouverture de votre vagin, ou des infections urinaires récurrentes ? Avez-vous de la difficulté à vider votre vessie ou votre intestin, ou êtes-vous constamment constipée ? Les rapports sexuels sont-ils douloureux ? Si vous avez répondu « oui » à une ou plusieurs de ces questions, vous présentez peut-être des symptômes indiquant un problème d’urologie féminine connu sous le nom de prolapsus vaginal et il est peut-être temps de consulter Academic Urology & Urogynecology of Arizona. Le prolapsus vaginal se produit lorsque les structures pelviennes, comme la vessie ou le rectum, se gonflent ou font saillie dans la paroi vaginale. Il existe de nombreux types de prolapsus vaginal, chacun avec un ensemble spécifique de symptômes, et pas moins de 14 millions de femmes aux États-Unis seulement souffrent de problèmes vaginaux et urologiques féminins en raison de cette condition. Academic Urology & Urogynecology of Arizona offre aux patients une variété d’options de traitement du prolapsus vaginal pour aider à rétablir la santé pelvienne.
Causes d’un prolapsus de la paroi vaginale
Il existe un certain nombre de causes possibles pour un prolapsus de la paroi vaginale ou un affaiblissement des supports vaginaux, notamment : l’accouchement par voie vaginale – en particulier l’accouchement par voie vaginale d’un gros bébé ou les accouchements multiples par voie vaginale ; la ménopause ; la prise de poids ; la toux chronique ; les anomalies du tissu conjonctif ; une chirurgie pelvienne antérieure ; l’âge avancé ; et la constipation chronique. Les femmes qui ont subi une hystérectomie ont un risque plus élevé de connaître des problèmes de prolapsus vaginal, car cette intervention implique l’ablation de l’utérus, un élément important de la structure de soutien située en haut du vagin. Les femmes qui ont des antécédents familiaux de prolapsus et celles qui soulèvent des poids lourds de façon chronique sont également à risque.
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