Les modes de défaillance de l’AMDE

ont un fonctionnement prématuré ou un défaut de fonctionnement au bon moment. Nous pouvons même
vouloir considérer un défaut d’arrêt de fonctionnement au bon moment. Cela peut être
particulièrement vrai si nous travaillons avec des équipements électroniques sophistiqués qui ont
des signaux de sortie et un timing sensibles.
Enfin, revenons à notre exemple de phare et à la fonction des trimmers. Dans
ce cas, certains exemples de modes de défaillance pourraient être :
Pour la perte de fonction, il pourrait s’agir de l’absence de réglage.
Pour la fonction partielle, il pourrait s’agir du réglage du faisceau dans une seule direction – vers le haut, mais
pas vers le bas.
De même, si la fonction fonctionnait par intermittence ou s’il y avait une fonction non voulue
qui pouvait se produire, alors des modes de défaillance pourraient être identifiés pour couvrir ces situations. La
formulation exacte qui est utilisée pour les descriptions des modes de défaillance variera d’un
analyste à l’autre, mais essayez d’être assez concis et aussi spécifique que possible. De plus, essayez
de maintenir une approche cohérente tout au long de votre analyse pour éviter toute confusion. De cette
façon, lorsque quelqu’un examine votre analyse, ou votre rapport, votre terminologie et vos
descriptions sont assez uniformes, et les modes de défaillance et les effets ne sont pas décrits
d’une manière dans une partie de l’analyse, puis de manière radicalement différente ailleurs.
Espérons que ce court exemple vous donne un aperçu de la façon d’identifier ou de
postuler les modes de défaillance dans le cadre de votre AMDE / AMDEC. Si vous avez posé le
travail de base initial et partitionné votre système et vos fonctions correctement, alors l’identification des modes de défaillance
applicables n’est pas si difficile.

Leave a Reply